Youpi c'était mercredi !
C'est l'heure de la chrochrochro chro chro chronique de Saint Seiya Omega (je crois que je me gourre d'intro, là).
Premier constat pour cet épisode 33 : il est moche. On retrouve les traits trop uniformes et les proportions horribles. Paradox a visiblement fait de la chirurgie hestétique, mais je suppose que le chirgurgien a question a dû finir écartelé entre deux réalité pour lui avoir gonflé les seins de façon inégale. Heureusement, les couleurs bien choisies, et quelques attaques superbes sauvent la mise. Autre constat technique, de nouvelles musiques pas du tout désagréables viennent enrichir le répertoire.
Bon, passé la technique, voyons le contenu. Cet épisode est-il aussi mauvais que le précédent. Hé bien NON ! Allékuïah mes frère ! Jouez hautbois, résonnez musettes, les scenaristes semblent enfin avoir réalisé qu'ils étaient en train de faire de la merde en découpant l'action entre les différentes maison. Ceux qui ne supportent pas Yuna seront donc rassurés : on ne la voit qu'au tout début et à la toute fin de l'épisode. Le reste est entièrement consacré à l'affrontement entre Ryuho et Paradox. Koga se tape l'incruste un instant, mais se fait aussitôt ejecter. Ouf !
Alors, ce combat ? Excellent, dans l'ensemble. Paradox enchaine de nombreuses techniques très spectaculaires, et Ryuho déchaine des dragons de toute beauté. Son éveil au septième sens est lui aussi réussi, au point de m'avoir offert quelques instants de fébrilité.
Le meilleur combat de la série ? Probablement.
A-t-on enfin un affrontement digne de Saint Seiya ? Non. Et on en aura probablement jamais. Vu l'ampleur de la psychose de Paradox, on était en droit d'espérer un duel psychologique plus profond. Les cinglés de la série originale, comme Saga ou Mime, ressortaient du combat vaincus, mais guéris. Ici il s'agit s'implement de trancher entre le bien et le mal. Ryuho remporte l'affrontement psychologique grâce à un apprentissage sur l'amour pas du tout idiot (ben oui, c'est du saint seiya ; il y a au moins une morale), mais la sainte des gémeaux est vaincue trop facilement, et sa démence pas du tout résolue. On note d'ailleurs qu'elle ne semble pas morte. Reviendra-t-elle plus tard en semaine pour une nouvelle thérapie ? Ce ne serait pas du luxe, pour quelqu'un qui a renié jusqu'à son nom.
Dernier constat : la chevalerie actuelle est VRAIMENT complètement pourrie, puisque Paradox se révèle elle aussi traitresse, là où le début du combat annonçait un prise de position idéologique. Si on ajoute à ça l'idée implicite qu'elle a obtenu son armure de Mars du fait de sa traitrise, on peut en déduire qu'on a actuellement un seul chevalier d'or digne de ce nom : Kiki, qui semble à la fois redoutable et intègre. La question se pose donc : qu'est-ce qu'il fout là, entre les traitres patentés et des cinglés congénitaux. Sûrement l'instinct grégaire : un bélier reste un mouton.
See you next week
Nom : Papillon Prénom : Noir
Couleur : Noir papillon Taille : 5cm avec les ailes
La ville d'Ys a ressurgi des flots et bouleversé l'ordre mondial. Venus des quatre coins de la Terre, les plus grands guerriers s'affrontent pour obtenir les clefs de la cité légendaire...
26 ans après les chevaliers du Zodiaque, une suite voit enfin le jour. Est-elle à la hauteur ? Réponse toutes les semaines dans une chronique sans pitié !
Des scenarios pour le jeu de rôles Tails of Equestria, dans l'univers de My Little Pony !
Chaussez vos lunettes rouges et bleues pour admirer quelques illustrations 3D...
De la musique en bandes dessinées ? Bien sûr que c'est possible !
Des années après le combat épique d'Albator contre les sylvidres, voici qu'émerge un nouveau groupe de pirates !
Un presque-remake de Metroid II, return of Samus, sorti autrefois sur Game Boy, avec les graphismes des jeux Super Nes et GBA, et pleins d''innovations ! Rien à télécharger, le jeu fonctionne entièrement dans le navigateur, même sans Flash.
Au seizième siècle, on livrait déjà des duels de monstres ! Evidemment les cartes Yu-Gi-Oh! n'existaient pas, et les duels se faisaient à grands coups de sortilèges et d'incantations magiques !
La vie de pirate comme on l'a toujours rêvée, scénarisée par Berylia.
Charles Cornic fut le grand héros de la guerre de sept ans contre l'Angleterre, au XVIIIème siècle. Méprisé par une noblesse sur le déclin, il arracha les victoires on seulement contre les anglais, mais aussi contre les officiers bien nés jaloux de ses succès.