Noir Papillon
Chronique_de_Saint_Seiya_Omega

Ça y est ! Le vrai combat commence enfin ! Les chevaliers débarquent dans la place forte de Pallas et doivent faire face à une armée de parasites déchainés, tous plus méchants les uns que les autres. Titan déploie ses forces, mais Tarvos, décidément increvable, annonce qu'il va s'occuper des serviteurs d'Athéna à lui tout seul.

Comment ça, vous ne savez pas qui c'est ? Mais si voyons, le gros loser qui se fait plier en continu depuis le premier épisode de cette saison. Allez, un effort : le blaireau qu'on a chargé de tuer Kôga parce que c'est un tueur de dieu trop dangereux mais qu'il n'en fera qu'une bouchée parce ce n'est qu'un simple chevalier de bronze... toujours pas ? Bon tant pis, vous ne perdez rien. Toujours est-il que deux défaites plus tard, le parasite de troisième zone n'a toujours rien appris mais endosse une armure plus puissante.

Après avoir annoncé qu'il allait vaincre tous les chevaliers à lui tout seul (et il faut un certain culot pour sortir ça quand Seiya himself est en première ligne adverse !), super loser décide finalement de n'affronter que Kôga. Encore une fois, on admire le sens stratégique des parasites. Un blaireau dont tout le talent est dans l'équipement, on se doute que le combat ne va pas être terrible. Heureusement il y a Ryuhô.

Oui, j'ai bien écrit "heureusement il y a Ryuhô". Le choupi du dragon est ici absolument génial. Il propose une stratégie simple mais gagnante à Kôga, nous cite un bon vieux passage mythologique et permet la victoire en protégeant son ami envers et contre tout grâce à son super bouclier et son sens de l'amitié implacable. Vous avez bien lu... on dirait du Saint Seiya ! Et ça marche ! Les effets pyrotechniques et la musiques sont là pour servir un combat bien rythmé, et tout serait formidable si le méchant ne nous offrait pas un ridicule moment cartoon en faisant gonfler son arme jusqu'à la démesure.

Le verdict est implacable : ce n'est pas la taille qui compte, c'est l'amitié ! A méditer...