C'EST FINIIIII !
Joie ! Boheur ! Félicité ! Allégresse ! Cette série de merde est enfin arrivée à son dernier épisode et...
Oups, vous êtes déjà là ?
Bienvenue à notre chronique hebdomadaire de Saint Seiya omega, avec un dernier épisode magnifique, gonflé aux effets visuels. Il n'y a pas grand chose à dire sur le scenario, à peu près inexistant : Kôga affronte Abs ; comment va-t-il gagner et sauver Saori ?
D'un point de vue technique, le visuel et splendide, avec des décors psychédéliques de toute beauté. La musique est superbe et parfaitement posée sur l'action. On croirait presque entendre du Seiji Yokohama. Mais l'intérêt de l'épisode tient surtout en Kôga lui-même, débordant de détermination, lyrique dans son courage et s'imposant ENFIN en digne successeur de Seiya. Unique ombre au tableau : le laïus sur la lumière e tles ténèbres, franchement lourd, mais qui permet à notre héros quelques belles tirades.
Les autres héros, jusqu'ici totalement inutiles, trouvent leur intérêt en envoyant leur cosmos à Kôga. C'est donc par l'union des coeurs, y compris un coup de main final d'Alia que la lumière triomphe d'un dieu fade mais redoutable.
Un très bon épisode donc, qui clôt une saison mi-figue mi-raisin. C'est l'heure d'un bibibi bi bi bilan (oups, trompé de série) !
Le démarrage fut laid et horriblement commercial, mais dans l'ensemble ça n'a fait que s'améliorer. En commençant par un Poudlard des chevaliers, on est passé au scénario de jeu vidéo avec les temples des éléments, puis à un assaut du sanctuaire grotesque, pour enfin arriver à la bataille sur Mars où la série semble enfin avoir trouvé son ton propre. Reste à voir si la nouvelle saison poursuivra sur cette lancée, mais à priori les cafouillages sont terminés. Espérons que la qualité technique restera elle aussi au niveau des derniers épisodes.
Au niveau des héros, Kôga le nouveau Seiya et Eden le mélancolique sont très réussis. On ne peut pas en dire autant des autres. Bien que bien enrichis par des flashbacks intéressants, force est de constater qu'ils n'ont pas réussi à obtenir leur personnalité propre. Indépendamment de leur passé, les héros originaux étaient vraiment typés : Seiya l'insolent, Shiryu le poseur, Hyoga le traumatisé, Shun le non-violent et Ikki l'impitoyable. Leur caractère impactait directement sur leurs combats. De ce point de vue, Omega est un échec quasi total : malgré leurs différences, les héros paraissent finalement tous sortis du même moule.
En ce qui concerne le scénario, il est difficile de savoir si la série a trouvé sa voie. Au moins on ne pourra pas reprocher à Omega de s'être contenté de copier son modèle. Mais cette intrigue complexe a-t-elle vraiment servi la série ? Les derniers épisodes, débarassés de ces subtilités, se sont avérés les meilleurs.
Bref, on attend de pied ferme la nouvelle saison. Saura-t-elle retenir les leçons de ce premier essai et le transformer ? See you next week...
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Couleur : Noir papillon Taille : 5cm avec les ailes
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