Salut à tous.
Avant d'attaquer 2013, attardons-nous sur les deux derniers épisodes de Saint Seiya Omega. Ils ne sont pas comme les autres, car il sagit d'u combat contre le chevalier de la vierge ! Le défi est immense, car il s'agit peut-être de l'affrontement le plus fantastique de la série originale : Ikki contre Shakka ! Omega peut-elle rivaliser avec son modèle ?
Bon, clairement non.
Mais on ne peut que saluer les efforts accomplis pour relever le défi. Fudo, nouveau saint de la vierge, en impose, notamment avec un design superbe et un relookage de l'armure de la vierge très inspiré. D'ailleurs, en passant, les "cloth" ressemblent de plus en plus à des armures ; Les designers arrivent peut-être au bout de leur idée de look "moderne". Ses techniques aussi sont assez impressionnantes, mais un gros défaut gâche complètement le personnage : IL PARLE BEAUCOUP TROP !
Là où sa seule puissance et son charisme devraient suffire, il n'en finit plus de palabrer, de commenter, d'épiloguer sur tout. Ajoutez à ça une action trop rapide, qui ne laisse pas le temps d'apprécier pleinement la toute-puissance de ses assauts, et on assiste à un lamentable gâchis, et le déluge d'effets visuels n'y fait rien.
Sinon bien sûr on retrouve beaucoup de moments repompés sur l'original, les kunais de Haruto remplacent la chaine de Shun, Eden remplace Ikki... heureusement trop de différences séparent les deux personnages pour que la décalcomanie se poursuive. Déjà l'écart de force n'a rien à voir. Le chevalier d'Orion, bien que surclassé, s'en sort plus qu'admirablement, au point même de prendre trop facilement l'avantage. Cependant, on aurait aimé voir les autres protagonistes agonisants comme face à Shakka et pouvoir profiter pleinement de ce déluge de cosmos. Las ! Koga et ses amis franchissent la maison de la vierge, et doivent faire face à un nouvel adversaire : le chevalier du verseau. Les mauvaises tendances reviennent : on se retrouve à nouveau avec deux combats en parallèle.
Bien sûr, trouver le chevalier du verseau devant la maison de la balance sent le réchauffé, mais ne soyons pas inutilement durs. Dejà cet ennemi n'a rien à voir avc Camus, et sa technique de contrôle du temps est vraiment sympathique (on se croirait face à Dio dans Jojo's). Ensuite on se retrouve là dans une situation nouvelle, sans rapport avec la série originale, ce que semble confirmer le coming session, avec un combat supplémentaire avec le chevalier de la balance.
Enfin, par moment, on touche du doigt un début d'âme dans Saint Seiya Omega. Face à l'adversité, pour une cause non seulement perdue, mais apparemment même infondée (les chevaliers d'or croient dur comme fer aux bienfaits apportés par le plan de Mars), les héros s'accrochent à la seule vision d'Alia. Le souvenir d'un sourire suffit à Kôga pour trouver la force de se relever. Eden, porté par ses regrets et son amour perdu, semble désormais inébranlable. Bref, malgré tous ses défauts et sa nature-même de suite commerciale, Saint Seiya Omega trouve enfin quelques instants d'identité à travers une étrange mélancolie...
See you next week
Nom : Papillon Prénom : Noir
Couleur : Noir papillon Taille : 5cm avec les ailes
La ville d'Ys a ressurgi des flots et bouleversé l'ordre mondial. Venus des quatre coins de la Terre, les plus grands guerriers s'affrontent pour obtenir les clefs de la cité légendaire...
26 ans après les chevaliers du Zodiaque, une suite voit enfin le jour. Est-elle à la hauteur ? Réponse toutes les semaines dans une chronique sans pitié !
Des scenarios pour le jeu de rôles Tails of Equestria, dans l'univers de My Little Pony !
Chaussez vos lunettes rouges et bleues pour admirer quelques illustrations 3D...
De la musique en bandes dessinées ? Bien sûr que c'est possible !
Des années après le combat épique d'Albator contre les sylvidres, voici qu'émerge un nouveau groupe de pirates !
Un presque-remake de Metroid II, return of Samus, sorti autrefois sur Game Boy, avec les graphismes des jeux Super Nes et GBA, et pleins d''innovations ! Rien à télécharger, le jeu fonctionne entièrement dans le navigateur, même sans Flash.
Au seizième siècle, on livrait déjà des duels de monstres ! Evidemment les cartes Yu-Gi-Oh! n'existaient pas, et les duels se faisaient à grands coups de sortilèges et d'incantations magiques !
La vie de pirate comme on l'a toujours rêvée, scénarisée par Berylia.
Charles Cornic fut le grand héros de la guerre de sept ans contre l'Angleterre, au XVIIIème siècle. Méprisé par une noblesse sur le déclin, il arracha les victoires on seulement contre les anglais, mais aussi contre les officiers bien nés jaloux de ses succès.